Alsace Grand Cru Schlossberg riesling 1991 Paul Blanck.
Millésime frais, étiquette en piteuse état, niveau bas et couleuse. Bon, il faut l’ouvrir. La robe est vieil or. Le nez est propre, semblant mur sur des herbes aromatiques et autres fleurs avec une touche de pétrole rendant l’ensemble un poil old school. La bouche est large, charpentée avec une acidité assez marquée mais dans une certaine richesse, une matière concentrée. La minéralité est intense avec une petite amertume en finale. Après 88/89/90 voici un millésime froid, plus typique de l’époque mais qui a fait de belle chose sur des sols drainant et plutôt chaud comme le schlossberg. 15,5/20
Stéphane