Pomerol Château Gombaude Guillot 1988 :
Un nez sur la rose fanée, les fruits rouges écrasés, le tabac avec une évolution sur la prune. La bouche est presque austère, sérieuse, stricte et droite avec des tannins serrés dans un bon volume mais la finale se fait encore plus sèche. Un vin rapidement dépassé par la soirée car servit avant Duhart Milon 1990 qui n’a pas eu à forcer pour lui emboiter le pas et lui passer devant.
Pas le plus grand bordeaux de ma cave mais un beau vin certainement à carafer pour l’assouplir un peu. 15,5/20
Stéphane