Encore un dialogue de sourd avec un membre d’un forum qui s’obstine à me coller une étiquette d’anti-bio.
Je commence vraiment à en avoir plus que ras le bol que mes propos soient déformer par des défenseurs impénitent des pratiques bio partant en guerre contre une frange d’amateurs qui ont, comme seul objectif que de boire des vins propres.
Je vais donc me décrire brièvement, pour les gens qui pensent me connaitre.
Mon objectif -dans le vin je précise, car cela n’est qu’un loisir pour moi, je n’essaye pas d’en vivre- et de trouver un bon vin, qui me plait et qui si possible a un bon rapport qualité/prix tout en répondant à ses critères d’appellation.
Le postula de départ est donc simple, il n’y a rien de mystique ou d’impossible la dedans, rien que du factuel.
Dans cette notion de plaisir j’exclu le mode de culture et/ou de vinification que je ne considère pas comme un résultat, une sorte de valeur qualitative absolue, mais un moyen, comme un autre pour arriver au résultat finale qui est pour moi « Un vin qui me plait et qui est buvable »
Si un vin est mauvais ou ne vous convient pas vous avez le droit de la dire, il ne faut pas se laisser tromper et abuser par les explications sur le mode de culture ou de vinification qui ont, imputé un caractère déviant à un vin.
Lorsque ce n’est pas bon, ce n’est pas bon, il n’y a pas d’alternative possible.
Pour résumer, je n’aime pas un vin parce qu’il est produit suivant telle ou telle charte mais parce qu’il répond à mes attentes, s’il est bio tant mieux, s’il n’est pas bio je pense arriver à survivre.
La culture bio, ou biodynamie doit être un plus qualitatif pour le vin et pas un argument de
vente capable d’estomper tous les défauts en prétextant le naturel.
stéphane