Margaux Château Paveil de Luze 1989.
Après la soirée margalaise au club, voici un nouveau représentant de cette célèbre AOC avec cette fois un cru bourgeois.
Nez doux, enrobé sur la cerise, le tabac froid, les épices douces. C’est assez classique mais bien mûr sans trace de verdeur grâce à un encépagement traditionnel avec une prédominance de Cabernet Sauvignon 65%, de Merlot 30% et de Cabernet Franc 5%. La bouche est ronde, elle aussi douce, fluide, sur des tannins raffinés. La profondeur est relative mais le breuvage tient bien l’air puisque la bouteille a été consommée sur la journée. Le nez n’est toujours pas décadent le lendemain alors que j’écris ces lignes, pas de précipitation donc, pour terminer votre caisse. Au final, un vin sympathique, sans grande identité, mais qui a très bien passé les années. 14,5/20
Stéphane